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Lou Doillon : "fille de" et "sœur de" certes, mais pas que…
Lou Doillon est née à Paris en 1982, avec pour mère l'actrice et chanteuse britannique Jane Birkin, pour père le réalisateur français Jacques Doillon et pour demi-soeur la chanteuse et actrice Charlotte Gainsbourg. Vous vous en doutez : elle a eu une enfance plutôt hors du commun.
Jeune, Lou Doillon s'est battue pour imposer sa personnalité et trouver sa voie au sein d'une dynastie d'artistes, se demandant souvent : "c'est quoi ce bordel ?". Mais elle a aussi bénéficié du fait d'être "entourée de gens qui faisaient et qui considéraient que le plus important était de faire au mieux et au plus juste, sans se soucier de la réaction des autres". Au cœur d'une "effervescence de liberté de la création", Lou s'est peu à peu essayée au dessin, à la chanson, au cinéma et au mannequinat, traçant ainsi son propre chemin. Aujourd'hui, elle a joué dans des dizaines de films et de séries télé, a posé pour de nombreuses marques et créateurs de modes (tels que Givenchy, Morgan, Mango ou Karl Lagerfeld) et est une chanteuse et compositrice reconnue, qui a notamment remporté le prix de Meilleure Artiste Féminine de l'Année aux Victoires de la Musique en 2013.
Son premier album Places – sorti en 2012 et co-produit avec le chanteur et compositeur Etienne Daho - a remporté un franc succès. Elle sort aujourd'hui Lay Low (dans les bacs au Royaume-Uni le 4 mars), enregistré à Montréal en collaboration avec Taylor Kirk, du groupe Timber Timbre. Sans le connaître personnellement avant de lui proposer une collaboration, Lou sentait que le Canadien et elle appartenaient à la même famille musicale : comme elle, Taylor "ne fait pas l'éloge de la dextérité ou de l'exactitude". "En enregistrant l'album, on a souvent reproché au batteur Olivier Fairfield, qui travaillait avec nous, que sa batterie sonnait trop comme une batterie", se souvient Lou. "Tous les musiciens étaient morts de rire, mais avec Taylor on considère que la musique c'est de l'humain, du vibratoire", explique-t-elle, ajoutant qu'elle trouve la fréquence mécanique du numérique "trop robotique". Lou aime aussi laisser la place à ses musiciens de s'exprimer dans ses morceaux : elle définit le cercle de chacun, et "ils sont libres de bouger dans cette circonférence autant qu'ils le souhaitent, ce qui rend chaque concert et chaque enregistrement vraiment unique".
Le résultat : un album pop-rock unique, composé de 11 titres écrits par Lou Doillon, et parsemé de quelques dissonances et irrégularités rythmiques. Cela n'a pas l'air de déranger Jean-Marc Vallée, qui a choisi le titre "Where to start" pour la bande originale de son prochain film Demolition, avec Jake Gyllenhall et Naomi Watts.
Lou Doillon sera en concert à Londres au Bush Hall le 27 avril, et c'est avec plaisir qu'elle revient dans la capitale britannique. Londres a en effet toujours eu une place spéciale dans son cœur : c'est la ville de sa mère, une ville presque sacrée, pour cette Franco-Britannique qui considère avoir été élevée en France "comme une enfant d'immigrée".
“J'ai une relation très enfantine avec Londres", admet Lou. "Quand je viens ici, j'aime retourner dans les endroits que je fréquentais quand j'étais petite avec la famille de ma mère : flâner dans les rues de Chelsea, sentir le 'boost' de High Street Kensington, fouiller dans les étalages du magasin d'arts plastiques Green & Stone (sur King’s Road), m'acheter un pull en cachemire chez Brora et passer des heures chez Sticky Fingers, qui est une sorte de Planet Hollywood râtée dont le propriétaire n'est autre que Bill Wyman, l'ancien bassiste des Stones". "Même mes goûts alimentaires sont régressifs ici", confie la chanteuse. "Je me nourris principalement de quinoa partout dans le monde, mais quand j'arrive ici je meurs d'envie de dévorer des 'bangers' - de préférence de mauvaise qualité, ce qui n'est plus si facile à trouver !".
Donc en plus d'être une artiste brillante aux multiples facettes, Lou Doillon semble être la bonne copine que tout le monde rêverait d'avoir. Qui est "la soeur de" et "la mère de" maintenant, hein ?
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echangeons, Economy/Politics, boules tournament, entrepreneur, common thread, chanteroy, music, Children, chanteroy, concert, Amarcord, socialist, 5.55, General food store, christmas, kings place, Tom McCarthy, French brand, Gabrielle, Magazines, Matthieu Kassovitz, Cheese, La Belle Chaurienne, London Fashion Week,
COMMENTAIRES:
18/03/2016 - ganais a dit :
I think the comments on here are so cute ;)
17/02/2016 - corinne.maillet a dit :
would be nice to win! thank you!
15/02/2016 - elodie.duval75 a dit :
J'ai croisé Lou à Londres l'année dernière, ça m'a fait tout drôle !
http://www.franceinlondon.com/
<a href="http://www.franceinlondon.com/">Très bon article by the way :)</a>
13/02/2016 - simon_dev2003 a dit :
I do love a bit of French music.
06/02/2016 - myriam a dit :
It will be so so nice to win . thank you so so much
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